Récit coopératif n°1

J'ai créé ce sujet avec l'accord de Le mec le plus sympa de tous les temps pour rassembler le petit récit coopératif que slyvorm a commencé suivi de Le mec le plus sympa de tous les temps et moi sur le sujet " récits en tout genres". Le principe : alors chacun va venir faire un copier-coller de ses petits bouts d'histoire ( dans l'ordre de parution ) pour laisser le sujet précedent libre à d'autres histoires et permettra au récit coopératif-spontané de ne pas avoir entre-deux les histoires qui n'ont rien à voir. Des questions ? Bon, c'est à Slyvorm de commencer.

ps : Ah oui, je vais essayer d'éviter que le récit coopératif ne deviennent trop "hard" mais ça va etre dur. Et aussi essayer d'arreter l'autobiographie. ( j'imagine si slyvorm est un adulte, à chaque fois qu'il nous lit, Le mec le plus sympa de tous les temps et moi, il doit se dire : "putain quel bande de puceaux ! ça a pas déjà 3 poils de ... que déjà ils font comme ci ils baisaient toutes les nuits" et je comprendrais ta réaction, mais nous ne sommes pas des pervers, nous sommes des ados à la libido anormalement élevée. )

re-ps : putain j'y crois pas, quand j'écris le nom de notre chef de guilde, ça écrit : Le mec le plus sympa de tous les temps

mdr.. oui une libido un pe élevé

SlyVorm et l'armée Zombie

Une partie de l'armée de SlyVorm était partit pour aider le seigneur Nick, son chef de guilde qui était en difficulté.

Mais sur le chemin du retour, une légion de zombies frappa son armée. Les archers ne pouvait rien faire, ils se sont fait encerclés...

700 zombies avait attaqués d'un coup l'armée de SlyVorm, complètement désemparé, se rangeant en carré. Plusieus zombies s'empallèrent dans les lances dréssés au dessu du carré, qui avançait tout doucement vers la troupe de zombies. 90 zombies perrirent.
L'une des deux troupe de cavaliers attaqua. Les zombies encerclèrent le carré ainsi que la troupe de cavalier restant, ils s'étaient dispersés très vite, et le carré de poouvait plus faire son effet. C'est alors que la cavalerie frappa le cercle de zombies et tua 150 zombies. Les fantassins de SlyVorm chargèrent alors le restant des zombies.

Sur 150 fantassins, 26 pérrirent, et 64 cavaliers furent tués. Mais il ne restait plus que 58 zombies, pleurant la mort de leurs frères. Ils battirent en retraite mais SlyVorm qui détestait l'attaque par derrière ordonna a ses archers de liquider les zombies restant. 200 archers attaquèrent, avecx leurs flèhes paralyzante, tous les zombies furent touchés et on en fit des prisonniers.

Sur le champ de bataille, les fantassins de SlyVorm ramassèrent 18 000 madrens, gagné par les zombies en volant des petits commerçants.

SlyVorm regagna son royaume, mit les zombies au travail et paya son armée. Très vaillante, puissante. Il le savait, les technologies était sa force. Il fallait à tout pris investir les madrens dans la recherche.

Nick avait appelé Slyvorn à la rescousse, suite à une attaque surprise sur son royaume
La bataille fut terrible. Des Vagues entières d'elfes se déversaient dans le royaume d'Antastona, les archers arrivaient par milliers et pilonnaient de leurs flèches enflammées les 150 détachements de grignards qui chargeaient.Heureusement, contre la pluie meurtrière des flèches elfiques, les Géants de pierre, fiers combattants d'élite de la garde d'Antastona résistaient farouchement contre les attaques ennemis. Ils provoquaient des carnages partout où ils passaient.
Jusqu'à ce qu'ils rencontrent les Ents. De même nombre qu'eux, les Ents montraient leurs racines, grondant pour impressionner l'ennemi. Ainsi commença un combat annexe titanesque, pierre contre terre, puissance contre précision, défense contre attaque.
Même si les Géants de la garde, aidés par la recherche de leur royaume dont ils avaient bénéficie, semblaient avoir le dessus, Les Ents les retardaient grandement, Les empêchant ainsi de protéger la cavalerie et l'infanterie, qui se battaient avec férocité devant la forteresse Antastonienne ou siégeait Nick, la ville fortifiée d'Esghid.
Sur le champ de bataille, il était impossible de définir le dominant du dominé, car même si la rapidité et la précision des archers Sylvaniens décimait par groupes entiers les coriaces soldats Montagnards, la rapidité et l'impétuosité de la cavalerie de la montagne faisait des ravages parmi les fiers elfes sylvains. Mais alors que l'issue de la bataille était encore incertaine, Trois véritables armées de grands archers elfes déboulèrent devant Esghid.
Une pluie, une averse, une tornade de flèches s'abattit sur les rangs Antastoniens. Il ne restait plus... rien? Non, les 3 détachements d'élite de Grignards se trouvaient là au complet, de la clairière d'à côté ressortit l'état major des Géants de pierre, les seuls survivants de la titanesque bataille Géants-Ents. Des Ents, il ne restait plus rien. Ces trois géants rescapés se regroupèrent ensemble, et se lancèrent, dans une dernière charge, a 50 contre 20 000, pour leur royaume...
Ils fermèrent les yeux, ne redoutant même pas le choc, foncèrent sur l'ennemi, et à leur grande surprise, ils passèrent, Il n'y avait plus d'armée ennemie, et quand ils se retournèrent, derrière eux, la terrible armée de Psychostarworls, dirigée par Slyvorn lui-même, se tenait là, bataillant avec l'armée elfe. Mais ils n'étaient pas sauvés pour autant. En dehors de la féroce bataille que livraient les elfes et l'armée se Slyvorn, ils restaient eux... et l'élite elfique. Comme eux, 10 Ents pour 10 Géants, 40 cavaliers pour 40 Grignards.
Nick étudiait la bataille, voyant que l'élite de son royaume, essoufflée, affaiblie par leur charge, se voyait aux prise avec une élite elfique puissante, en bonne condition, et sûre de soi, il prit sa décision. Il brisa la glace qui renfermait son marteau de guerre, autrefois donné à son peuple par un demi-dieu, fit seller son cheval, et se lança dans la bataille pour sa terre et pour son peuple. Arrivé dans la bataille, se concentra de toutes ses forces et invoca le vnt de la montagne. l'élite elfique fut soufflée d'un coup et une partie de l'armée aussi; Nick tomba, vidé de son énergie, au mileu du champ de bataille.
Quand il se reveilla dans sa chambre où l'avaient transporté ses plus proches lieutenants, c'était l'aube. Ils avaient gagné.Mais Pour avoir donné tant d'énergie, Nick avait perdu son oeuil gauche. Il pensa instinctivement à aller voir Slyvorn pour le remercier de son intervention miracle, mais il était dèja en route pour son royaume, non une route sans risque, mais cela est une autre histoire...

Quelques jours plus tard...
SlyVorm demanda après cette guerre terrible à ses messagers et à ses commerçants d'envoyer au royaume d'Antastona de l'or, des madrens et les remerciements de tout un peuple, pour avoir aider SlyVorm dans sa quête.
Le seigneur SlyVorm était très fier d'avoir servi au cotés de Nick.
Il remercia aussi la garde d'élite d'Antastona et du seigneur Nick, ses géants de Pierres, très aimés par les habitants de Psychostarworld.

(j'écris à la place de Sly, on à pas trop le temps)

*extrait du journal de seigneurie de Nick*
Aujourd'hui nous avons vaincu. Ensemble, alliés. Aujourd'hui aussi il y à eu des morts. Combien de pauvres veuves attendent leur mari? Combien d'enfants ne sauteront plus jamais sur les genoux de leur papa? Une guerre n'est jamais heureuse. Beaucoup de structures ont étés détruites. Heureusement, des aides du Seigneur Slyvorn sont arrivées. On peut reconstruire la ville, pas la vie. Demain, la procession des morts viendra chercher nos défunts. Peut-être cela nous consolera-t-il de les voir aller au paradis qu'ils ont bien mérité? Non. Je ne pense pas. Des morts restent des morts. Il ne nous reste plus qu'a protéger encore et encore le peuple d'Antastona dans ce monde barbare, où la satisfaction vient du combat, où le bonheur vient de la mort.

*extrait du journal d’un rescapé de la bataille d’esghid*
Voilà, de mon détachement de grands archers elfes, il ne restait plus rien. J’étais le seul survivant. Le seul… où était donc passée la fière et puissante armée elfe ? Où était-elle ? J’étais mort, enfin, je le croyais… jusqu’à ce que je me réveille parmi un tas de corps putréfiés dans une charrette tirée par un magnifique cheval blanc. Comment une telle vision de la perfection de la nature pouvait-elle subsister sur une terre aussi désolée ?
J’appelais à l’aide. Je criais de toutes mes forces. Enfin, je m’aperçus que ce n’était non pas une charrette elfe mais une charrette naine ! Une grimace déforma mon visage. Je m’aperçus de ce que j’avais faits ! Ils allaient me torturer pour obtenir des informations ! Mais c’était trop tard, un nain arrivait. Chaque fois que sa botte touchait le sol, cela me rappelait ce que j’allais devoir endurer. Quand il fut à ma hauteur, je l’entendis crier :
- Hé ! Seigneur Nick ! En v’la un qu’est pas mort !
- Ha bon ? J’arrive ! Ne le touchez pas !
Et là, je le vis. C’était un seigneur nain comme les autres, à première vue. Mais il chevauchait un magnifique poney à la robe tellement sublime que sa simple vision me permettait de ne plus ressentir d’aucune façons la douleur. Sur ce, je m’endormis paisiblement.

Quand je me réveillais, je me maudits de m’être endormi alors que j’étais à la frontière de la mort. Jusqu’à ce que je regarde autour de moi : j’étais dans une magnifique chambre, dans un lit somptueux. Des inscriptions anciennes en langue naine et en langue elfe était gravées au dessus de la magnifique cheminées. De toute évidence, j’étais encore en Antastona…

*extrait de "La rencontre d'une civilisation" de Nick d'Antastona*
La grande guerre d'Antastona était finie. Slyvorn était venu rendre hommage à nos morts. Cela m'a fait chaud au cœur. Mais il n'y avait pas que ça. Contre moi, comme porté par ma conscience, j'avais sauvé un archer elfe. Tout ce que j'ai pu en tirer, c'est qu'il m'a trouvé resplendissant sur mon poney. C'est quand j'ai crié de toute mes forces, en colère, que ce n'était pas un poney mais un fier étalon blanc, il s'est évanoui. J'ai dormi à terre dans sa chambre 2 nuits durant. Je ne sais pas pourquoi. Il était beau malgré ses innombrables blessures. Mais je n'osais pas lui parler. J'avais massacré ses frères . Il ne me pardonnerai jamais cela. Ça se voyait, même pas besoin de demander. J'avais dis à mes gardes d'exaucer tous ses désirs. Je savais qu'il était important. C'est le troisième soir, qu'il n'était plus là. Un mot laissé sur la table:
"Merci pour votre hospitalité
Seigneur Viviun d'Ariakena"
Un Seigneur. Je comprends. Même si il est guerrier. Même si il est fou. Priver un peuple de son Seigneur est une faute grave.
Trois semaines après, un convoi venant d'Ariakena chargé de madrëns était arrivé devant le château.

* extrait du journal de Sire Viviun *
J’étais parti. Je ne sais pourquoi j’ai fait ça. J’y étais bien, le lit était moelleux et chaud. Mais il y avait surtout cette femme, ELLE, m’avait envoûtée. Un garde m’apprit que c’était la fille du seigneur Nick. Elle ne ressemblait pourtant pas à une naine. Non, seulement sa taille me rappelait son origine ethnique. Mais sinon, cette odeur, cette odeur, cette odeur d’amande. Ce petit quelque chose qui me troublait, me déshonorait et trahissait mes sentiments à chaque fois qu’elle me soignait, mais elle ne s’en souciait guère, elle faisait semblant de n’avoir rien vue. Cette façon de vous réchauffer grâce à sa chaleur corporelle, elle me prenait dans ses bras et puis… Je suis parti, c’est fini. Sur la route du retour, alors que je traversais la ville, je vis les gens. Ils avaient peur de moi. Ils me laissaient le passage comme à un pestiféré. Les palais était magnifiques. Mais le reste… les écuries occupent dans cette ville près de 40% de l’agglomération. On aurait dit que chaque soldat, chaque paysans, avaient un ou plusieurs chevaux. Mais tous ces chevaux rendaient malheureusement les chemins et les rues boueux, ce qui atténuait encore plus leur petite taille. Les gens étaient sales et avaient peu d’éducation. Maintenant, je suis de nouveau chez moi. Je n’ai pas oublié le seigneur Nick et ait décidé de lui envoyer quelques madrens. Mais aujourd’hui, j’ai décidé de faire plus que cela : je vais leur envoyer mes meilleurs savants afin d’éduquer la population de son royaume et de donner des conseils pour assainir sa ville. Mais je leur ait donné une 2e mission : aller porter un message à la fille du seigneur et obtenir des informations sur ELLE. Je ne demande pas beaucoup, juste connaître son nom m’apportera un certain réconfort. Voilà pourquoi, sur ce message, il est écrit…

*extrait du journal de Seigneurie de Nick*
Voilà bien longtemps que je n'ai plus entendu parler du seigneur Viviun d'Antastona, mais aujourd'hui, une lettre est arrivée. Il demande le nom de ma fille. Encore un. Après le Seigneur Ethiaine de Boorlé, le Seigneur Klaiment de Daïgauro, et le seigneur Cirhille de Paukmon, en voilà un nouveau. Au moins, je suis fier que l'on trouve ma fille belle, et pour une fois, j'ai l'impression que ce seigneur en est digne. Ça je ne lui dirais jamais, j'ai tout de même un honneur. Enfin bref, je lui ai dit qu'elle s'appelait Louise. Et pour parfaire l'histoire, je l'ai convié à un repas. Car plus on à d'amis, plus on a d'amis (où ai-je déjà entendu cela?). Voilà, il va venir. Je pense que le plus difficile va être d'expliquer aux gardes qu'il ne faut pas le transpercer de lances dès son arrivée. Mais je pense qu'en le répétant tous les jours et en leur demandant de l'écrire (enfin, si ils savent écrire) ils s'en souviendront.Vivement l'arrivée de ce Seigneur.
*extrait du journal de Louise*
Ah, Viviun d'Ariakena, je m'en souviens encore, cette peau douce, ce teint halé, cette silhouette fine et puissante, je ne sais pas si j'aurais du l' emb*partie mouillée de larmes*r . Le rverrais-je un jour? mon père serait-il d'accord? Si je pouvais le revoir et l'*grosse larme*. J'en rêve encore la nuit.

* extrait du journal du seigneur Viviun *
Cette nuit, j’ai rêvé d’ELLE… et mes draps s’en souviennent. Ce matin, un messager m’a apporté une réponse à mon message : elle s’appelle Louise. J’ai enfin pus mettre un nom sur ce visage et cette beauté. Je m’en souviens comme si c’était hier : cette façon, lorsque l’on étaient seuls, de me faire mal mais aussi du bien lorsque je disais une bêtise, lorsque j’oubliais ce qu’elle avait dans sa main. Mais déjà, quelqu’un me tire de mes songes : c’est le messager qui m’a porté son nom. Il me dit quelque chose :
- Le seigneur Nick vous a aussi invité à un banquet qu’il organise pour resserrer les liens, dit-il, déjà tissés entre nos deux grandes nations.
- Y aura-t-il sa fille ?
- Certainement, monseigneur.
- Voilà ! Savez-vous comment faire avec les filles ?
- Vous me demandez ça à moi ? Moi, simple messager doit éclairer le grand et uissant seigneur Viviun ?
- Hé bien on …

*extrait du journal de Nick*
Demain, le Seigneur d'Ariakena arrive. Ma fille n'arrive pas à cacher sa joie. En même temps, sa mère était une elfe.